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Tête d’ampli guitare dernière version du Amp1 : la Mercury Edition de la marque BluGuitar.
BluGuitar est une marque allemande Créée par le guitariste Thomas Blug.
Ce nouveau modèle ne se distingue de la version précédente que par le sigle « Mercury Edition » près du ventilateur côté connectique.
L’Amp1 est un ampli 100w quatre canaux entièrement analogique (sauf la réverbe) pesant 1,2 kg et tenant dans la poche d’une housse guitare !
D’apparence simple, c’est un véritable couteau suisse plein de fonctions et possibilités.
Avec ses trois footswitches, il est pensé pour se placer à côté des pédales d’effets :
- Un switch canal clair/saturé
- un switch de boost
- un switch de réverb, seul élément numérique de l’ampli
Un sélecteur rotatif permet de choisir entre les trois types de canal saturé / overdrive :
- vintage (type Marshall Plexi)
- Classic (type Marshall JCM 800)
- Modern (type Engl)
La saturation se règle avec les potars de gain et master overdrive.
L’égalisation trois bandes (graves, mediums, aigus) et le bouton master sont communs à tous les canaux mais sur le côté, de petits potars de tonalité permettent d’agir sur les canaux clean, classic et modern et ainsi que des potars de volume pour les canaux classic et modern.
Le boost se règle lui aussi par un petit potar sur le côté.
L’ampli est un class D avec une nano lampe dans le circuit de puissance.
Côté connectique, on a :
une entrée
- un envoi et retour pour la boucle d’effet. Un petit switch sur le côté permet de choisir entre série ou parallèle.
- une sortie jack stéréo avec simulateur de haut-parleur pour brancher un casque ou pour enregistrer.
- une sortie hp 8 Ohms
- une sortie hp 16 Ohms
- une prise jack midi/pédalier pour le pédalier Remote1 de BluGuitar ou tout autre footswitch ou pour un contrôleur midi via un adaptateur spécifique.
L’Amp1 peut fonctionner sans baffle connecté et n’utiliser que sa sortie rec out / casque si besoin.
Un mode de programmation permet d’affecter à chacun des trois switches une combinaison de son entre canal, boost et réverbe.
Un noise-gate soft ou radical (metal) peut être activé par un petit switch sur le côté.
Malheureusement, il intervient après la réverb ce qui n’est pas très naturel.
L’Amp1 est incurvé sur le dessous ce qui permet de le posé sur un baffle dont la poignée est sur le dessus, bien joué!
Audiofanzine a eu la bonne idée de réaliser un test que vous pouvez lire ici.
Thomas Blug a réalisé plusieurs vidéos de démo présentes sur son site, une en français ci dessous suivi plus bas d’un comparatif bluffant avec des amplis à lampe haut de gamme :

Second Audio-Technica AT4047 SV pour faire une paire.
Ce micro large membrane made in Japan est inspiré selon le fabricant du Neumann U47 FET.
Cardioïde, coupe bas 80 Hz et pad 10dB.
Il encaisse 149dB, 159 dB avec le pad et s’est retrouvé plusieurs fois avec bonheur devant une grosse caisse.
Mais pas que, contrebasse, voix ampli guitare…
Il porte à 120 le nombre de micros et D.I. du studio.

La Demon Tube Screamer est une pédale d’overdrive pour guitare fabriquée en Chine à la main.
C’est un clone de la célèbre Ibanez Tube Screamer.
Deux modes sélectionnés par un Switch : le mode TS9 ou le mode TS808.
True Bypass.
On n’a jamais assez de pédales d’overdrive et distortion, elle vient compléter les Psi Drive, Bigfoot Thunder Pup, Joyo Us Dream, Little Bear R.Attack RT2 et Georges Dennis Distorded Mind Rock.
En cherchant bien, on la trouve neuve livraison inclue entre 25€ et 35€.
Petite démo ci-dessous.

Capteur Schertler Dyn P P48.
Dans la série des capteurs Schertler Dyn P48, différents modèles existent optimisés chacun pour un instrument.
La cellule est la même pour chacun, seuls diffèrent le câble, la connexion et l’électronique.
Celui-ci est optimisé pour le piano.
Une pâte verte, fournie avec permet de le fixer en formant un boudin qui vient entourer le capteur et qu’on presse sur l’instrument.
Tout cela tient dans une jolie pochette.
Il servira probablement plus en concert qu’en studio mais qui sait sur certains enregistrements studio « live ».
Et puis il y a des chances qu’il soit utilisable sur d’autres instruments.
A comparer avec la cellule Ischell X-jack d’utilisation similaire du studio.

Le studio a récemment acquis un deuxième micro Aston Spirit.
Après une rapide comparaison avec le premier, de grosses différences de son apparaissent.
Une fois le corps démonté, on s’aperçoit que l’électronique des deux micros n’est pas la même.
Le plus ancien a trois circuits imprimés, l’un d’eux porte la référence « issue 1 ».
Le plus récent n’a que deux circuits imprimés, l’un d’eux porte la référence « issue 3 » ; il comporte des composants montés en surface.
L’inscription gravée sur le corps n’est pas la même non plus :
« The Art of Performance » pour le plus ancien, « The Art of Audio » pour le plus récent.
Le SAV de Aston (très réactif) confirme l’existence des différentes versions mais s’étonne de la différence de son constatée et suspecte un problème sur un des micros.
Ils me proposent de renvoyer les deux micros chez eux pour les étudier, ce que je fais.
Ils m’ont renvoyé très rapidement deux micros neufs, la classe !