Actualité

Caisse Claire Pearl Free Floating Brass 14 x 6½ » modèle B9114D.
Brass en anglais veut dire laiton en français.
On a tendance en français à confondre avec le cuivre car on traduit Brass Band par orchestre de cuivres.
Une recherche Google « Free Floating Brass » entretien la confusion en incluant le modèle Bronze dans les résultats.
Modèle ancien Made in Taïwan, catalogue caisses claires Pearl 2001.
Pour rappel, les caisses claires Free Floating ont la coquille libre de toute fixation.
Les tirants sont pris dans un anneau en aluminium.
Une foix ceux-ci dévissés, la coquille sort librement.
Il est alors possible de changer de coquille pour en installer une d’un autre matériau.
Voici les matériaux disponibles à sa sortie :
- érable
- cuivre
- laiton
- acier
Plusieurs profondeurs existent : 3½ » (piccolo), 5″, 6½ », 8″; toutes ne sont pas disponibles pour chaque matériau.
Les caisses claires Free Floating, système breveté par Pearl, sont apparues en 1983 au catalogue est y figurent toujours.
Les matériaux disponibles ont un peu évolué, voici ceux employés actuellement :
Bronze- aluminium
- laiton
- acajou
- érable/acajou
- érable
- acrylique
La 1ere génération 1983-1991 a les supports de tirants de forme héxagonale légèrement ouvragés avec des cercles.
Cette Free Floating brass avec ses supports ronds sans anneaux est donc postérieure.
Cercles super hoop.
Le studio possède trois autres Free Floating :
- Pearl Free Floating piccolo maple
- Pearl Free Floating Aluminium 14″x08″
- Pearl Free Floating Acier 14×6,5″
Caisses-claires du studio
- Ludwig Supraphonic 14×5 1965
- Tama Starclassic maple
- Tama Swingstar
- Premier Resonator (14×4,5″ 1975 Made in England)
- Premier Super Ace (14×5,5″ 1958, made in England)
- Yamaha Copper 14″x5,5″ (handcrafted japan)
- Sonor Performer (ferromanganèse, 6,5″, 80′ made in Germany)
2 Sonor S Class Pro (14×5 érable)- Drumcraft Serie 8 (14×6,5″ bouleau de Sibérie)
- Parade Capelle vintage (Acier 15″ x 11″ made in France)



Voilà, la nouvelle console Behringer Wing est installée et opérationnelle.
Une publication précédente, décrit ses caractéristiques et son fonctionnement général, voir ici.
Voyons maintenant comment celle-ci a été intégrée dans l’environnement de travail de la régie.
Critères de choix de la console
Afin de respecter l’ergonomie de travail souhaitée et l’environnement de travail existant, la console devait respecter les critères suivants :
- 24 faders ou plus
- 48 canaux ou plus
connectivité : pouvoir recevoir et envoyer 48 canaux (min) en ADAT ou en MADI- 8 canaux de préamplis
- dimensions : pouvoir rentrer dans le meuble (avec adaptation du meuble)
- Prix bien sûr, sans fixer de fourchette précise, cela doit être dans les moyens du studio.
La Wing correspond à tous les critères sauf la connectivité.
Celle-ci ne dispose en effet que de ports AES50 (3 ports de 48 in – 48 outs) et d’une carte d’extension en Dante.
La carte d’extention MADI, annoncée depuis plusieurs années, n’est toujours pas disponible.
Celle de la X32 n’est pas compatible (et n’a que 32 in / 32 out).
Le studio a donc acheté un convertisseur AES50 / MADI, le Flexiverter de Appsys Audio Pro.
Le Flexiverter se branche sur deux ports AES50 (la console en a 3), il utilise 48 in/out de l’un et 16 in/out de l’autre pour couvrir les 64 in/out du MADI.
Intégration dans le meuble
Il a fallu redécouper les montants latéraux en pin pour insérer la Wing plus large.
Les chutes découpées ont servi à combler l’espace laissé vide derrière la console.
Organisation et architecture de travail du studio
Pour comprendre la manière dont la console est connectée aux différents appareils et périphériques, il faut repréciser la méthode de travail adoptée au studio.
La console ne sert que pour le monitoring d’écoute en régie et pour les musiciens pendant les enregistrements.
Elle ne sert pas (en audio) pour le mixage qui se fait intégralement dans l’ordinateur.
Elle sert en revanche de surface de contrôle de Cubase pendant le mixage.
Fonctionnement avec la 02r96
Pendant longtemps, avec la console 02r96, les mixes de casques pour les musiciens en enregistrement, étaient envoyés en analogique dans des amplis casques à l’aide des bus auxiliaires de la console (8 aux mono ou 4 stéréo).
L’arrivée des mixeurs personnels Behringer P16-M au studio a modifié la manière de gérer l’écoute par les musiciens.
La Yamaha routait 16 canaux numériques (pistes individuelles, bus de groupes ou bus auxiliaires) vers les P16-M grâce à leur connexion Ultranet.
Les canaux étaient envoyés en ADAT vers un convertisseur ADAT/Ultranet Behringer P16-I.
La possibilité d’envoi de mixes analogiques via des amplis casques avait malgré tout été conservée.
La Yamaha envoyait le mix d’écoute régie en spdif dans la carte son Antelope Audio.
Celle-ci utilisait ses convertisseurs Numérique / Analogiques pour le renvoyer vers les enceintes Neumann.
La Yamaha envoyait également ses sorties auxiliaires (mixes de casques) en ADAT dans la carte son Antelope Audio pour bénéficier des convertisseurs de l’Antelope de meilleure qualité.
Behringer Wing integration
Tout l’enjeu avec la Behringer Wing est donc de conserver cette architecture de travail malgré des formats de branchement audio numériques complètement différents.
La Wing dispose aussi d’un nouveau format de liaison numérique développé par Behringer / Midas : Le StageCONNECT.
Les nouveaux mixeurs personnels Behringer P24, plus puissants et plus pratiques à utliser que les P16-M, se branchent exclusivement en StageCONNECT.
Le studio a acheté 5 mixeurs P24 et deux distributeurs P24 Hub (un hub dans chaque pièce comme pour les distributeurs Ultranet déjà installés).
Les deux P24 Hub connectés en AES50 à la Wing fournissent les flux audio en StageCONNECT aux différents mixeurs P24.
Deux réseaux RJ45 sont installés au studio, l’un transporte l’Ultranet, l’autre l’AES50 pour les P24.
Les P24 seront utilisables en parallèle des P16-M et des amplis casques sur sorties auxiliaires.
Le Behringer P16-I fournissant le réseau Ultranet aux P16-M, récupère ses 16 canaux en ADAT par un autre circuit AES50 de la console, converti en MADI puis ADAT.
La carte son Antelope Orion 32+ Gen 3 centralise toutes les connexions Audio de la régie.
Elle récupère sur ses entrées convertisseurs analogiques, les sorties des préamplis micros et les renvoie en MADI puis en AES50 via le concertisseur Flexiverter sur la console.
Un RME MADI Bridge distribue les ports MADI aux appareils qui en ont besoin.
Il permet aussi de router les flux audios vers un ordinateur invité à la place de celui du studio, pour accueillir des ingés son qui préfèrent utiliser leur ordinateur avec leur logiciel.
Ils bénficient ainsi des convertisseurs de la carte son Antelope Audio et de la console Behringer Wing.
Synchronisation des appareils numériques
Tout ces appareils numériques ont besoin d’être synchronisés sur une même horloge.
La carte son Antelope Orion 32+ Gen 3 est l’horloge maître qui synchronise tout le monde.
La Wing, synchronisée sur les ports AES50 a besoin qu’on lui change manuellement sa fréquence d’échantillonnage chaque fois que celle-ci change sur l’horloge maître.
USB
La prise USB2 branchée sur l’ordinateur transforme la console en interface audio 48 in et 48 out.
Cela présente l’avantage de récupérer une sortie stéréo du PC pour écouter du streaming, des vidéos Youtube ou des fichiers multimédia dans les disques durs.
L’antelope Audio branchée en thunderbolt n’était pas reconnue par windows et nécessitait un logiciel intermediaire pour router les sorties de Windows vers l’Antelope.
Cette prise USB véhicule aussi les canaux MIDI qui permettent à la console de commander les logiciels de son.
Avec un bouton, la console bascule en mode télécommande du Cubase du studio.
Les formats de connexion audio numériques
Petits rappel sur les différents types de câbles et formats audio numériques.
Le nombre de canaux est donné pour une fréquence d’échantillonnage de 44,1 kHz ou 48 kHz.
- AES50, câble RJ45, 48 canaux in et 48 out – format propriétaire Behringer / Midas.
- MADI, 1 câble in, 1 out, soit coaxiaux soit optiques, 64 in et 64 out.
- ADAT, 1 câble optique (différent du MADI), 8 canaux.
- StageCONNECT, 1 câble XLR 110 Ohms, 32 canaux in ou 32 out ou mélange de in et de out – format propriétaire Behringer / Midas.
- SPDIF, 1 câble RCA 110 Ohms, stéréo.
- AES3, 1 câble XLR 110 Ohms, stéréo. Existe aussi sur prise sub-D25 8 canaux in, 8 out.
- DANTE, 1 câble rj45, 128 in et 128 out.

Console de mixage toute neuve Behringer Wing.
Page constructeur ici.
Elle vient remplacer dans la régie du studio, la console Yamaha 02r96 qui est maintenant en vente.
Notre utilisation
La Wing sauf cas exceptionnel n’est donc pas destinée à sortir du studio
Une autre publication détaille la configuration du studio et l’utilisation de la Wing dans ce contexte.
Pour faire court, comme avec la 02r96, la console sera utilisée pour gérer le mix d’écoute en régie pendant les enregistrements et router les entrées vers les mixeurs individuels des musiciens.
Pas de mixage élaboré donc ; le mixage d’écoute pendant les prises est basique (pas d’eq, pas de comp etc) et le mixage des enregistrements se fera dans l’ordinateur sans la console.
Beaucoup des fonctionnalités de la console ne seront donc pas utilisées au studio.
Caractéristiques de la Wing
- Nouvelle approche de routage en se concentrant sur les sources plutôt que sur les canaux
Entièrement compatible avec les consoles et les boîtiers de scène Behringer X32/Midas M32- 40 entrées stéréo
- 8 entrées auxiliaires stéréo
- 28 bus: 16 auxiliaires stéréo, 8 matrices stéréo et 4 Mains stéréo
- 24 faders en 3 sections entièrement programmables
- Ecran tactile 10″ à angle réglable
- Section de contrôle personnalisée programmable
- 8 préamplificateurs micro Midas Pro
8 sorties ligne analogiques Midas- 8 entrées auxiliaires
- 6 sorties auxiliaires et 2 sorties moniteur sur Jack 6,3 mm symétrique mono
- 2 sorties casque
- 3 ports AES50 : 48×48 canaux par port – longueur de câble jusqu’à 80 mètres
- Entrée/sortie MIDI
- 2 GPIOs programmables
Interface USB 48×48 canaux- Emplacement d’extension avec carte WING-LIVE incluse
- Lecteur/enregistreur SD 64×64 canaux
- Cartes supplémentaires (Dante, MADI, Soundgrid) optionnelles non fournies
- Port StageCONNECT 32 canaux pour le monitoring personnel
- Emulations vintage d’EQs, de compresseurs et de gate disponibles sur chacune des 40 entrées stéréo
- Emulations vintage d’EQs, de compresseurs et de gate disponibles sur chacune des 40 entrées stéréo
16 moteurs d’effets: 8 Premium et 8 Standard- EQ 6 bandes sur les entrées
- EQ 8 bandes sur les sorties
- Dimensions (H x L x P): 201 x 870 x 575 mm
- Poids: 24 kg
On note l’apparition de nouvelles connectiques ou formats : le StageCONNECT et les deux prises GPIO.
Explications plus bas.
Comparatif avec la 02r96
Ce n’est pas très équitable de comparer les deux consoles vu la différence de génération, la 02r96 est sortie en 2002 et la Wing en 2019.
Pourtant, la Wing n’égale pas certaines caractéristiques de la Yamaha :
- Nombre de canaux : 56 pour la 02r96, 48 pour la Wing.
- Fréquence d’échantillonage : jusqu’à 96 kHz pour la 02r96 contre 48 kHz pour la Wing.
- Préamplis : 16 sur la 02r96, 8 sur la Wing
Formats de sorties numériques audio : La Wing ne dispose pas de l’ADAT et du MADI
La Wing a tous ses canaux paramétrables en mono, stéréo LR ou stéréo M/S ce qui compense largement lle nombre inférieur de canaux.
De fait elle peut traiter 96 canaux s’ils sont regroupés en 48 canaux stéréo.
Le 96 kHz est finalement anecdotique, le studio n’a travaillé qu’une seule fois dans cette fréquence d’échantillonnage.
Voir la publication du studio : A quelle fréquence d’échantillonnage travailler.
Les préamplis de la Wing ne sont utilisés que pour les micros talkback en régie ou pour les musiciens; 8 suffisent.
Les formats de sorties numériques audio absents sur la Wing sont la seule caractéristique à poser problème au studio.
Behringer a beau annoncer depuis plusieurs années, la disponibilité à venir d’une carte MADI, celle-ci n’arrive toujours pas.
Le studio a donc investit dans un convertisseur externe AES50 / MADI : Le Flexiverter par Appsys Pro Audio.
Fonctionnement de la Wing
La behringer Wing fonctionne tellement différemment de la Behringer X32 / Midas M32 que s’en est un peu déstabilisant.
Sa prise en mâin n’est pas simple au début quand on est habitué à la X32.
De nombreux tutoriels généralement en anglais sont disponibles mais un changement majeur de firmware a modifié les pages de la console et les tutoriels ne correspondent pas toujours aux derniers firmwares.
Bien plus paramétrable et souple que son aînée qui fonctionnait par bloc de huit canaux, la Wing choisit individuellement par canal une source parmi toutes les entrées de la console :
- 3 ports AES50
- port StageCONNECT
- carte d’extension
- port USB (48 in)
- préamplis
- entrées auxiliaires
- entrée AES/EBU
Si on choisit deux entrée contigues (impair/pair), le canal est stéréo, tous les réglages sont communs (saul le panoramique), y compris le gain.
Les effets n’ont pas de canal de retour d’effet dédié par défaut.
Il faut insérer un effet dans un bus d’envoi qui peut aussi être le canal de retour d’effet ou être envoyé dans un nouveau canal.
L’écran tactile améliore grandement l’utilisation de la console.
StageCONNECT, Ultranet
Behringer / Midas a développé un nouveau format de connexion audio numérique, le StageCONNECT.
Ce format utilise un câble xlr 3 points type DMX ou 110Ω et peut aller jusqu’à 40m.
Il fonctionne aussi avec des câbles micro classiques sur de courtes distances.
32 canaux circulent dans ce câble, quel que soit le sens, 32 in, 32 out ou des combinaisons de in et de out (ex 24 out et 8 in etc).
Divers périphériques existent :
- Midas DN4816-I, 16 entrées ligne
- Midas DN4816-O, 16 sorties ligne
- Midas DN4888, 8 entrées ligne et 8 sorties ligne
- Klark Teknik DN4816U, convertisseur StageCONNECT/Ultranet/USB
- Behringer P24, mixeur personnel
- Behringer P24 Hub, hub alimentant plusieurs P24
- Midas HUB4, Hub pour mixeur personnel Midas DP48
Behringer n’a pas jugé utile d’intégrer un port Ultranet à la Wing, il faut passer par un périphérique extérieur avec port Ultranet pour brancher des mixeurs individuels Behringer P16M connectés sur le réseau Ultranet (le studio en a 13) ou des P16-Hq.
Périphériques avec port Ultranet et port StageCONNECT : tous les périphériques StageCONNECT sauf les mixeurs individuels.
Périphériques avec port Ultranet et port AES50 : toute console X32/M32, tous les boîtiers de scène pour ces consoles : S32/DL32, S16/DL16, SD8, SD16, le Behringer P24 Hub.
Prises GPIO
GPIO : General Purpose Input Output, soit littéralement, entrée / sortie à usage général.
Ces deux prises jack 3 points peuvent accueillir des switches (au pied par exemple) qui commandent des fonctions dans la console (mute d’un canal, rappel de mémoire etc) ou servir de sorties pour commander des périphériques extérieurs.
Les fonctions de ces deux prises sont programmables dans la section Custom Control.
Voir les vidéos plus bas.
Port USB, MIDI
La console dispose d’un port USB 2 pour une interface son de 48 in / 48 out avec un ordinateur.
Ce port USB véhicule aussi les informations MIDI.
Les ports MIDI sont compatibles avec les protocoles MIDI Mackie HUI et MCU.
La Wing propose des préréglages pour les différents logiciels audio dont Cubase et Nuendo utilisés par le studio.
3 zones de la console sont activables pour télécommander le logiciel.
Ce sont autant de ports MIDI ouverts par le logiciel.
Sur le papier, la commande du DAW par la Wing paraît bien mais elle s’avère peu pratique à utiliser, en tout cas avec Cubase, le logiciel installé au studio.
Si on ulilise les 3 zones de faders, les pistes du logiciel apparaissent par blocs de 4 ou 8 sur la console, dans un ordre différent de celui de Cubase.
Atteindre certaines pistes est compliqué voire impossible quand on n’utilise qu’une zone, le défilement n’atteint pas les première pistes.
A l’arrivée, c’est assez inutilisable, du moins pour les faders et on ne trouve pas d’infos pour expliquer le fonctionnement.
Univers AES50
Grâce à ses trois ports AES50, la Behringer Wing est compatible avec le matériel suivant du studio :
- consoles X32 Core et X32 Compact
- Boîtiers de scène Midas DL32, Behringer S16 et SD8
- P24 Hub
- Appsys Pro Audio Flexiverter AES50/MADI
Le contrôleur X-touch est aussi compatible avec la Wing.
Ergonomie
La console malgré ses formes épurées pèse quand même 24 kg, ce qui l’amènera à une quarantaine de kilos avec un flight-case.
Sans être complètement indéplaçable seul, elle n’est pas facilement manipulable en flight-case.
Behringer a eu la curieuse idée de placer les prises jack sous les coins supérieurs de la console.
Ce n’est pas ce qu’il y a de plus pratique pour des casques au cordon un peu court.
Un ventilateur qu’on peut voir sur la photo vue de profil se déclenche de temps en temps.
Il est un peu bruyant; ce serait intéressant de le remplacer par un plus silencieux.
Autres modèles de Wing
Behringer a sorti deux autres modèles de Wing :
- le modèle Compact avec 13 faders au lieu de 24 et 24 préamplis
- le Rack, unité rack sans faders, 24 préamplis.

Kala U-Bass Bamboo, la référence exacte est Kala BMB-FS, petit ukulélé basse de la marque Kala.
Il est intégralement en bambou : table, dos, éclisses, tête, manche, talon, touche et chevalet.
Aucune inscription sur la provenance de la fabrication sur l’instrument.
D’après Kala, seules les séries Revelator Nautilus USA et California U-Bass sont fabriquées à Petaluma (Californie, USA).
Les autres peuvent avoir été fabriqués en Chine, Indonésie, Vietnam, Inde et Portugal.
Caractéristiques
Page constructeur ici.
- Tout bambou
- Finition satin
- Sillet en graphtech TUSQ
- Pontets en matériau composite
- Mécaniques : custom black Die Cast
Cordes Aquila Thunderblacks- Micro : piézo
- Electronique intégrée : préampli, égaliseur 3 bandes, accordeur
- Diapason : 20,875″ / 53 cm
- Longueur : 29,4375″ / 74,7 cm
- Coprs : 13,75″
- Frettes : 16
- Truss rod réglable
- Gig bag
Les cordes sont en une sorte de caoutchouc synthétique, site constructeur ici.
C’est très mou et a besoin d’être étiré avant de se stabiliser en accord.
La sensation de jeu est spéciale, on a l’impression de jouer sur de gros spaghettis mais elles vont donner une fois le U-bass branché, ce son rappelant celui d’une contrebasse.
Bon à savoir, accordeur allumé, il n’y a pas de son qui sort sur la prise jack.
Electronique alimentée par deux piles plates CR2032.
La qualité première de cet instrument au studio n’est pas le son acoustique qu’il développe mais le son branché de l’instrument.
Celui-ci évoque celui d’une contrebasse grâce au diapason court qui produit des graves profonds, aux cordes en caoutchouc et au piézo qui sonorise l’instrument.
Tout cela pour in prix tout à fait modeste.
Histoire du U-Bass
Le U-bass développé par Kala est conçu par Owen Holt.
Après deux ans de développement en collaboration avec Mike Upton, Kala commercialise le premier modèle acoustique en acajou en 2009.
La lettre u de U-Bass vient de Upton, le fondateur et propriétaire de Kala.
De nombreux modèles suivront, dans toutes sortes de bois, solid body, frettés et non frettés.
Instruments à cordes du studio (autres que guitares et basses)
- Danelectro Coral Sitar reissue
- Ukulélé ténor
- Mandoline Framus (années 60)
- Mandoline à résonateur Recording King RA 998
- Banjo 6 cordes Framus (années 60)
- Balalaïka
Vidéos après les photos








EDIT : Vendu
Le studio vend une de ses deux têtes d’ampli à lampes Carlsbro TC 100 580€.
Elle sort de révision.
Lampes vérifiées et en bon état.
EL34 de puissances appairées et bias correctement réglé.
Lampes de préampli en bon état, une des 12AX7, la v1 changée pour une 12AT7 neuve.
Le studio est maintenant bien équipée en têtes d’amplis guitare et basse et n’a plus besoin de garder deux amplis identiques.
Il met en vente la tête la plus récente, S/N 10228 (8570 pour l’autre).
Pas d’envoi.
Pour plus d’infos sur cet ampli et Carlsbro, voir la plublication du site.
Description et caractéristiques principales
C’est donc une tête tout lampes 100W fabriquée en Angleterre au début des années 70′.
4 lampes de puissance EL34, 4 lampes en préamplification (3 12AX7 et 1 12AT7).
2 canaux avec un volume chacun (gain), pas de master.
L’ampli conçu pour rester clean ne crunche pas vite.
il commence à driver à un niveau sonore très élevé.
Un limiter sur la section master vient réduire le niveau.
Plus on monte le potar, plus le niveau baisse.
Le Carlsbro TC 100, équipé des recherchés transfos Partridge accepte basses et guitares et supporte très bien les pédales d’effets.
Son son se situe entre les Sound City / Hiwatt et les Marshall Plexi.
Il est considéré comme un des plus puissants amplis 100W à lampes.
Ce n’est pas un ampli pour jouer dans sa chambre !
Poids 22,9 kg
Lageur : 750mm
hauteur : 290 mm (pieds et poignée inclus)
Profondeur : 300 mm
Alimentation, choix sur sélecteur : 110V, 200V, 225V, 250V.
Carlsbro
Carlsbro était un des pionniers anglais dans la fabrication des amplis.
Stuart Mercer le fondateur a commencé à fabriquer des amplis en 1959.
A la fin des années 60′, la conception originale et la qualité de fabrication des Carlsbro n’avaient rien à envier à ses concurrents.
A l’inverse de Vox ou Marshall, Carlsbro n’a pas cherché à endorser les musiciens et groupes connus ce qui avec l’abandon de la fabrication d’amplis à lampes à la fin des années 70′ explique la méconnaissance de ses amplis de nos jours.
Instruments, backline et matériel son du studio en vente sur la page Occasions.








Bronze
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connectivité : pouvoir recevoir et envoyer 48 canaux (min) en ADAT ou en MADI
Behringer Wing integration
Entièrement compatible avec les consoles et les boîtiers de scène Behringer X32/Midas M32
8 sorties ligne analogiques Midas
Interface USB 48×48 canaux
16 moteurs d’effets: 8 Premium et 8 Standard
Formats de sorties numériques audio : La Wing ne dispose pas de l’ADAT et du MADI
Cordes Aquila Thunderblacks
Instruments à cordes du studio (autres que guitares et basses)
Carlsbro